Dans une des dernières séances « Heda ana » à Hannibal TV, nous avons eu le plaisir d’admirer Mr Borhen Bsais, un de nos meilleurs orateurs par excellence, un discours parfait, complet avec une fluidité d’expression de la langue arabe qui nous régalé en dépit de la présence de Mr Ala Chebbi sur le plateau je ne sais pas pourquoi faire mais au moins pour ne pas laisser l’invité tout seul avec le public.
Une des plus belles remarques citées par Mr Borhen est celle quand il a parlé du mouvement de gauche en voulant nommer quelques leaders de ce parti, il s’est adressé à Ala pour lui dire que t’es un peu proche de la culture et il a parfaitement raison d’avoir recours à ce peu étant donné qu’il remis à Ala sa propre valeur. En effet, le discours de Ala et sa façon de traiter avec ses invités rendement le PEU un compliment vu que ce dernier manque non seulement de style mais aussi d’un esprit serein et lucide, sa langue se trouve incapable de tailler des phrases dignes d’un intellectuel des Télés internationales.
Je ne vais pas m’attarder sur ce point étant donné qu’il ne nécessite pas tout cet intérêt face à des questions plus importantes dans le discours. Pour un instant, tu t’imaginerais dans la suisse, la France ou autres démocraties occidentales en entendant Mr Borhen parlant des libertés qui se trouve dans notre pays, Mr Borhen se trouve surpris en entendant quelques uns protestant l’absence des droits malgré leur existence, j’ai fini alors par se convaincre que les flux de liberté commencent toujours d’El Menzah et ses alentours pour arriver après quelques moments aux autres banlieux les moins riches et non les plus pauvres. Ceci étant dit, je ne démentirai pas ces propos de risque de se trouver obliger d’arrêter mon boycott pour quelques boissons gazeuses et leur ouvrir tous mes stripes y compris celui unilatéral de Rafah.
La phrase qui m’as marqué le plus dans le discours de Mr Borhen est celle portant sur les débats ethniques, Borhen a dit que « Nous les musulmans disent que nous sommes la meilleure nation alors que les juifs prétendent qu’ils sont les élus du Dieu, alors que Mr Borhen déduit par son génie que tout cela n’as pas de sens et que nous avons tous tort étant donné que selon ce dernier le Dieu aime le peuple qui travaille ». J’aimerai m’arrêter sur cette réplique pour mieux l’analyser et extraire la morale stagnante de notre cher intellectuel. Tout semble vrai sauf que le premier Nous de la phrase n’est pas du tout à sa place. En effet, nous sommes loin et je parle ici de la Tunisie d’une nation musulmane et ceci n’est pas issu de mes propres pensées ou d’une propagande pour culpabiliser la société mais de témoignages des gens de l’occident qui se sentent chez eux en Tunisie et avouent tout trouver chez nous sauf l’islam et je pense que je n’ai pas à citer dans ce même contexte ce que nous voyons quotidiennement dans les rues, la prostitution, la dégradation des mœurs et tout ce que en découle pour prouver ces propos, bien sûr ce sont les acquis du progrès et de la civilisation selon la vision de nos patrons mais ce ne sont certainement pas les fondements des musulmans mais d’autre chose qu’il faut chercher pour au moins savoir à quel clan nous appartenons. Ainsi nous pouvons conclure que l’égalité établie par Mr Borhen ne tient plus, bien au contraire il y a même un rapport d’inclusion qui a échappé à notre invité pour ne pas dire que ce dernier l’as intentionnellement délaissé, la valeur de travail est l’un des fondements de la nation musulmane et non le contraire. Le fait d’essayer de généraliser la valeur du travail tout en négligeant les appartenances religieuses n’est autre qu’une feinte médiatique pour instaurer les fameux principes de l’occident. Il est tout a fait permis d’adopter cette logique et tromper la conscience du peuple, toutefois je vous demande Mr Borhen de nous donner en contre partie votre solution magique pour cette situation, par où commencer surtout votre vision pour motiver les gens et construire ce peuple qui travaille. L’histoire a bien montré que nos peuples arabes, aussi épuisés que nous le constatons, seront incapables de trouver les ressources mentales pour travailler et se développer, et plus que nous les éloignons des sources de la croyance plus qu’ils souffriront et seront moins prêts pour comprendre les défis de notre nation et décoller de ce marécage.
Toutefois, nous aurons tout le plaisir de vous suivre et se vagabonder ensemble dans les sombres sentinelles de la démocratie , liberté et tous ses principes et discours retentissants, l’échec sera sans doute notre limite convergente de vos suites de conneries. Nous serons indulgents et vous épargneront les critiques du verdict, mais il faut toutefois savoir que l’histoire ne vous pardonnera jamais tout ce gâchis en temps et en potentiel de peuple perdu à tourner en rond et à satisfaire des convictions assoiffées courant derrière les chimères de la laïcité.
Mr Borhen, je tiens à vous remercier pour une émission aussi instructive et riche sur le plan intellectuel mais le désert culturel qui vous a accompagné tout au long de la séance. Sur les éclairs de votre liberté, j’ai trouvé l’audace de vous adresser ses mots en espérant continuer à bénéficier de cette lumière avant que l’autre lumière de la dogmatique ne m’emmène la où il n’y aura qu’une seule voix non celle de la vérité mais plutôt celle du désarroi.
Une des plus belles remarques citées par Mr Borhen est celle quand il a parlé du mouvement de gauche en voulant nommer quelques leaders de ce parti, il s’est adressé à Ala pour lui dire que t’es un peu proche de la culture et il a parfaitement raison d’avoir recours à ce peu étant donné qu’il remis à Ala sa propre valeur. En effet, le discours de Ala et sa façon de traiter avec ses invités rendement le PEU un compliment vu que ce dernier manque non seulement de style mais aussi d’un esprit serein et lucide, sa langue se trouve incapable de tailler des phrases dignes d’un intellectuel des Télés internationales.
Je ne vais pas m’attarder sur ce point étant donné qu’il ne nécessite pas tout cet intérêt face à des questions plus importantes dans le discours. Pour un instant, tu t’imaginerais dans la suisse, la France ou autres démocraties occidentales en entendant Mr Borhen parlant des libertés qui se trouve dans notre pays, Mr Borhen se trouve surpris en entendant quelques uns protestant l’absence des droits malgré leur existence, j’ai fini alors par se convaincre que les flux de liberté commencent toujours d’El Menzah et ses alentours pour arriver après quelques moments aux autres banlieux les moins riches et non les plus pauvres. Ceci étant dit, je ne démentirai pas ces propos de risque de se trouver obliger d’arrêter mon boycott pour quelques boissons gazeuses et leur ouvrir tous mes stripes y compris celui unilatéral de Rafah.
La phrase qui m’as marqué le plus dans le discours de Mr Borhen est celle portant sur les débats ethniques, Borhen a dit que « Nous les musulmans disent que nous sommes la meilleure nation alors que les juifs prétendent qu’ils sont les élus du Dieu, alors que Mr Borhen déduit par son génie que tout cela n’as pas de sens et que nous avons tous tort étant donné que selon ce dernier le Dieu aime le peuple qui travaille ». J’aimerai m’arrêter sur cette réplique pour mieux l’analyser et extraire la morale stagnante de notre cher intellectuel. Tout semble vrai sauf que le premier Nous de la phrase n’est pas du tout à sa place. En effet, nous sommes loin et je parle ici de la Tunisie d’une nation musulmane et ceci n’est pas issu de mes propres pensées ou d’une propagande pour culpabiliser la société mais de témoignages des gens de l’occident qui se sentent chez eux en Tunisie et avouent tout trouver chez nous sauf l’islam et je pense que je n’ai pas à citer dans ce même contexte ce que nous voyons quotidiennement dans les rues, la prostitution, la dégradation des mœurs et tout ce que en découle pour prouver ces propos, bien sûr ce sont les acquis du progrès et de la civilisation selon la vision de nos patrons mais ce ne sont certainement pas les fondements des musulmans mais d’autre chose qu’il faut chercher pour au moins savoir à quel clan nous appartenons. Ainsi nous pouvons conclure que l’égalité établie par Mr Borhen ne tient plus, bien au contraire il y a même un rapport d’inclusion qui a échappé à notre invité pour ne pas dire que ce dernier l’as intentionnellement délaissé, la valeur de travail est l’un des fondements de la nation musulmane et non le contraire. Le fait d’essayer de généraliser la valeur du travail tout en négligeant les appartenances religieuses n’est autre qu’une feinte médiatique pour instaurer les fameux principes de l’occident. Il est tout a fait permis d’adopter cette logique et tromper la conscience du peuple, toutefois je vous demande Mr Borhen de nous donner en contre partie votre solution magique pour cette situation, par où commencer surtout votre vision pour motiver les gens et construire ce peuple qui travaille. L’histoire a bien montré que nos peuples arabes, aussi épuisés que nous le constatons, seront incapables de trouver les ressources mentales pour travailler et se développer, et plus que nous les éloignons des sources de la croyance plus qu’ils souffriront et seront moins prêts pour comprendre les défis de notre nation et décoller de ce marécage.
Toutefois, nous aurons tout le plaisir de vous suivre et se vagabonder ensemble dans les sombres sentinelles de la démocratie , liberté et tous ses principes et discours retentissants, l’échec sera sans doute notre limite convergente de vos suites de conneries. Nous serons indulgents et vous épargneront les critiques du verdict, mais il faut toutefois savoir que l’histoire ne vous pardonnera jamais tout ce gâchis en temps et en potentiel de peuple perdu à tourner en rond et à satisfaire des convictions assoiffées courant derrière les chimères de la laïcité.
Mr Borhen, je tiens à vous remercier pour une émission aussi instructive et riche sur le plan intellectuel mais le désert culturel qui vous a accompagné tout au long de la séance. Sur les éclairs de votre liberté, j’ai trouvé l’audace de vous adresser ses mots en espérant continuer à bénéficier de cette lumière avant que l’autre lumière de la dogmatique ne m’emmène la où il n’y aura qu’une seule voix non celle de la vérité mais plutôt celle du désarroi.
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